Le mois de septembre approche et les médias commencent déjà à disserter sur les difficultés des étudiants à assumer le coût croissant de leurs études, mais aussi sur les mésaventures qu’ils subissent dans leur recherche de logement.
Les deux sujets sont d’ailleurs fortement liés car on estime qu’en 2021, le logement représentera près de 50% des frais de vie courante d'un étudiant
La fin de la pénurie ?
Trouver un logement quand on est étudiant n'a jamais été facile. La pénurie chronique de logements adaptés (plutôt meublés, petits, bon marché, situés en ville, …) transforme la recherche en parcours du combattant et les médias regorgent d’anecdotes contant leurs mésaventures.
Cette pénurie entraine bien évidemment des comportements abusifs, aussi bien du côté des candidats locataires qui n’hésitent plus à « embellir » leur dossier que de celui des propriétaires bailleurs, tentés d’améliorer le rendement locatif de leur bien en augmentant le loyer ou en minimisant les frais d’entretien et d’équipement puisque le logement sera facilement loué.
Mais c’était sans compter sans la pandémie actuelle qui brouille les cartes ! Auparavant de nombreux jeunes préféraient conserver leur logement durant l'été de peur de ne pas en trouver un autre à la rentrée. A présent, les confinements et formations en distanciel imposés par la situation sanitaire ont poussé près de 60% des étudiants à quitter prématurément leur logement pour réintégrer le cocon familial. En outre de nombreux propriétaires qui pratiquaient autrefois la location touristique en milieu urbain ont dû se rabattre sur la location en longue durée, les restrictions sanitaires limitant les déplacements et voyages, notamment internationaux. Cette situation a même provoqué dans certaines régions une diminution des loyers, évolution difficilement imaginable autant pour les propriétaires que les locataires tant la certitude que les loyers ne peuvent qu’augmenter est fortement ancrée dans les esprits !
Encore un bon plan ?
La pénurie de logements étudiants aurait-elle donc pris fin ?
L’investissement dans le logement étudiant serait-il un bon plan du passé ?
Pas sûr car la prochaine rentrée étudiante devrait se faire en présentiel et l’amélioration de la situation sanitaire relance progressivement l’activité de voyage et donc la location saisonnière ! La situation de pénurie va donc se renouveler et le « rapport de force propriétaires/locataires » devrait donc à nouveau être en faveur des bailleurs à la rentrée 2021.
La situation du logement étudiant devrait donc se tendre à nouveau et faire oublier la période de vacance locative qu’ont subi certains propriétaires dans l’année écoulée.
L’investissement dans le logement étudiant redevient donc intéressant.
Il est vrai qu’il reste l'investissement le plus accessible, avec un prix de vente moins élevé (même si le m² coûte plus cher) et une rentabilité (entre 5 et 7 %) approchant le double de celle d’une grande surface.
Et la vacance locative reste faible même si le taux de rotation des locataires y est plus important (environ 2 ans de durée moyenne d’une location pour un studio pour près de 5 ans pour un plus grand logement). En revanche ce turn-over plus important induit une détérioration plus rapide du bien qu’il convient d’intégrer dans son calcul de rentabilité.
Enfin les studios et petits logements se louent plus rapidement, pour peu qu’ils soient situés dans une ville étudiante ou un grand bassin d’emplois.
Louer un logement pour étudiant reste donc toujours un bon plan, surtout si l’on peut diminuer encore les coûts de gestion et sécuriser le revenu locatif.
Améliorer encore sa rentabilité locative et sécuriser ses loyers
S’affranchir des honoraires d’une agence lors du changement de locataire permet immédiatement d’économiser environ un mois de loyer.
Pourquoi s’en priver alors que la location entre particuliers est en effet grandement facilitée par des acteurs tels que Wizi qui permettent de trouver gratuitement son locataire : création d’annonce (rédaction automatique, photos/vidéo), publication sur Wizi et sur les plus grands sites immobiliers, messagerie privée, agenda de rdv, sélection du locataire parmi les candidats dont le dossier a été qualifié par Wizi (taux d'effort, situation professionnelle/familiale, ...).
Mais une bonne rentabilité locative ne suffit pas si elle est mise en doute à chaque échéance de paiement du loyer. C’est pourquoi Wizi Premium, outre la génération et la signature numérique du bail et des états des lieux avec photographies, l’automatisation de la comptabilité et des quittances, les garanties AXA en cas de dégradations et l’assistance juridique, permet au propriétaire bailleur de s’affranchir de tous retards et impayés de loyer avec sa formule « versement des loyers le 5 du mois quoi qu’il arrive ».
Et en cette époque marquée par l’incertitude ce n’est absolument pas un luxe !