Le jour du déconfinement tant attendu est enfin arrivé !
Mais, sans surprise, nous n’avons pas retrouvé notre monde d’avant car cet hivernage de deux mois a profondément affecté notre société et notre économie, et que de nombreuses habitudes devront durablement changer. Car toutes les contraintes nécessaires pour contenir la pandémie sont loin d’avoir disparu et que d’autres s’imposent.
Alors quels impacts pour les propriétaires bailleurs, comment se prémunir contre un présent et un futur si incertains ?
Des conditions à la reprise des locations
Plusieurs nouvelles mesures gouvernementales accompagnent ce déconfinement. On peut les consulter et trouver réponse à nombre de questions sur la FAQ du gouvernement mais en voici certaines qui impactent fortement le secteur de la location immobilière.
Pour faire suite à de nombreuses sollicitations d’associations de défense des locataires la trêve hivernale a été prolongée jusqu’au 10 juillet 2020, et même jusqu’en Octobre en ce qui concerne le logement social à Paris. Ceci implique que toute expulsion d’un logement loué est illégale jusqu’à cette date, ce qui n’empêche pas pour autant de lancer auparavant les procédures qui permettent d’y aboutir !
Les visites de logement étaient quasiment impossibles puisque les déplacements étaient strictement limités. Il est maintenant possible de les réaliser, ainsi que les états des lieux d’ailleurs, dans la limite de 100 kilomètres autour de son domicile. Cette mesure permet de relancer les rendez-vous sur place entre propriétaires et locataires, en respectant distanciation et mesures de protection bien sûr.
En revanche, pour dépasser cette limite de distance la raison invoquée sur l’attestation dérogatoire relèverait du « motif familial impérieux », formulation malheureusement interprétable et ne garantissant donc pas une absence de verbalisation !
De la même manière les déménagements sont de nouveau autorisés dans la limite de 100 Kilomètres entre les lieux de déménagement et d’emménagement. Et tout dépassement de cette limite est soumis à l’obligation de remplir une attestation dérogatoire … avec les mêmes aléas que ceux des visites et états des lieux ! Bien sûr bien d’autres opérations liées à une activité de location immobilière peuvent être également contrariées (rédaction bail, remises documents/dossiers, signatures, paiements, assurances, …) mais nous ne les aborderons pas car avec Wizi elles sont dématérialisées et simplement réalisables sans se déplacer et/ou se rencontrer.Une reprise progressive … et poussive ?
Des secteurs entiers toujours à l’arrêt (tourisme, hôtels, bars, restaurants, événementiels, transport aérien, …) et pour d’autres des conditions de reprise d’activité quelquefois si contraignantes qu’elles en hypothèquent le redémarrage.
Des millions de salariés toujours en chômage partiel, des entreprises dont le chiffre d’affaire s’est vaporisé avec un carnet de commande parfois exsangue, des plans de licenciement qui se multiplient et, par paquets de centaines de salariés, allongent la liste des inscrits à Pôle emploi, c’est une économie ravagée que l’on découvre en sortie de ce confinement.
La crise est profonde et il ne faut pas se leurrer, elle sera durable. Rattraper le niveau d’activité d’avant la crise sera déjà un sacré pari, alors imaginer une récupération de l’activité perdue pendant ces derniers mois relève du domaine du rêve ! Beaucoup de ce qui a été perdu le restera !
Un pouvoir d’achat qui diminue
Tant d’incertitudes sapent la confiance en l’avenir, attestée par la frénésie d’épargne de plus de 60 milliards d’euros que l’on a déjà constatée de la part des français qui ont encore de quoi économiser. Mais, pour bien d’autres, l’impact présent et à venir sur leur niveau de vie est considérable.
Car perte d’emploi, chômage partiel, perte de chiffre d’affaire pour les indépendants, perte d’activité dans les secteurs informels entrainent pertes de revenus et donc de pouvoir d’achat.
Les mesures gouvernementales actuelles de soutien aux personnes et aux entreprises permettent actuellement d’adoucir la chute mais ne sauraient sur le long terme être maintenues. Elles ne pourront perdurer bien longtemps car financées par l’augmentation d’une dette nationale qui deviendra rapidement insoutenable, d’autant qu’elle devra bien un jour être remboursée !
Un risque locatif qui augmente … mais qui peut être contenu
Pour bien des propriétaires bailleurs, pourtant soumis à leurs propres remboursements d’emprunts immobiliers, reprise poussive, chômage de masse, pertes de revenus ne peuvent qu’accroitre le risque locatif. Les risques d’impayés ont rarement été aussi importants ce qui entraîne d’ailleurs une plus grande exigence sur les dossiers des candidats locataires et donc potentiellement une augmentation de vacance locative.
Heureusement, puisque toutes ses opérations sont dématérialisées, Wizi a pu naturellement assurer la continuité de ses services auprès de ses clients propriétaires et locataires et leur permettre de vivre ce confinement sans préoccupations supplémentaires. Et c’est d’autant plus vrai pour ses propriétaires qui ont souscrit la formule « Reversement du loyer garanti le 5 du mois, quoi qu’il arrive »et sanctuarisent ainsi leur revenu locatif.
Mais il n’est pas trop tard pour bénéficier de cette garantie de percevoir son loyer le 5 du mois, quoi qu’il arrive, ainsi que de la nouvelle offre d’assurance vacance locative AXA.
Pour ce faire une reprise de bail par Wizi est encore possible pour vos locataires à jour de leurs loyerset dans les lieux depuis au moins 3 mois.
Cette offre est sans franchise, sans carence, sans engagement, sans frais caché. Elle vous protège jusqu'à 50 000 €de loyers impayés et jusqu'à 7 700€ de dégradation.