Publié par Wizi le 26/05/2020, modifié le 03/05/2021.
La pandémie mondiale qui continue de sévir a plongé notre société et son économie dans une situation que nul n’aurait imaginée en début d’année : confinement de 2 mois puis déconfinement sous surveillance et soumis à la menace d’une résurgence qui saturerait à nouveau les structures hospitalières et rebloquerait une économie qui peine encore à redémarrer.
Une économie ravagée
Des secteurs entiers toujours à l’arrêt (tourisme, hôtels, bars, restaurants, événementiels, transport aérien, …) et pour d’autres des conditions de reprise d’activité quelquefois si contraignantes qu’elles en hypothèquent le redémarrage.
Des millions de salariés toujours en chômage partiel, des entreprises dont le chiffre d’affaire s’est vaporisé avec un carnet de commande parfois exsangue, des plans de licenciement qui se multiplient et, par paquets de centaines de salariés, allongent la liste des inscrits à Pôle emploi, c’est une économie ravagée que l’on découvre en sortie de ce confinement.
Et l’activité de location immobilière n’a pas été épargnée par le cataclysme qui a frappé la planète.
La location saisonnière
La location saisonnière a pris de plein fouet la désaffection touristique et les interdictions de déplacement ; elle peinera à rassurer tant que les risques d’infections perdureront et limiteront les déplacements et séjours. Tant et si bien que nombre de propriétaires envisagent de se reconvertir à la location longue durée pour sauver leur investissement locatif face à la perspective d’un calendrier de location poussif pendant des mois encore et soumis à des contraintes sanitaires de désinfection et de vacance du logement entre deux clients.
La location longue durée
La location longue durée a dû encaisser la fermeture des agences immobilières qui, contraintes et forcées, se sont essayées en catastrophe au télétravail et à la dématérialisation des opérations qui pouvaient l’être. Bien des propriétaires et locataires ont dû prendre leur mal en patience pour obtenir règlements des loyers, rapports de gestion, avis d’échéance, quittances, …
Et, pour les propriétaires qui se passent d’agence et traitent de
particulier à particulier, il est sûr que la baisse de revenu que subit une grande partie de la population ne peut les rassurer sur la garantie de percevoir leurs loyers d’autant que la trêve hivernale a été prolongée jusqu’au 10 Juillet 2020 !
Autant dire que rares sont les acteurs du marché locatif qui, pratiquant déjà la digitalisation et l’automatisation des opérations étaient donc prêts à assurer une
continuité de service ainsi qu’une
garantie de reversement des loyers aux propriétaires bailleurs.
Zéro rupture des services Wizi !
C’est pourtant le cas de la
plateforme Wizi qui depuis bientôt 3 ans a défriché le chemin de la numérisation de toutes les étapes du processus de location immobilière de longue durée, de la publication/multidiffusion de l’annonce au règlement sécurisé des loyers, la digitalisation lui permettant de proposer aux propriétaires des
services innovants (pas de frais d’agence, assurance vacance locative, loyer garanti le 5 du mois, …) et aux locataires des
conditions d’accès aux logements plus larges (autres statuts que CDI, pas de frais d’agence, pas de garant, …).
Au 1° jour du confinement, l’équipe Wizi a immédiatement basculé en télétravail, déjà régulièrement pratiqué grâce à la digitalisation des données et documents et à l’automatisation des procédures qu’elle permet.
Les opérations courantes ont été menées … comme d’habitude, et aucun propriétaire ou locataire n’a dû attendre ou réclamer un règlement, un rapport de gestion, une quittance, …
Mais mieux encore, alors que visites et états des lieux étaient interdits,
Wizi a malgré tout continué d’accroître son portefeuille de gestion par le biais de reprises de baux de propriétaires mécontents ou inquiets d’un service dégradé ou gelé !
Zéro impayés ni retards pour les propriétaires clients de Wizi
La continuité des services liés à l’exploitation de son patrimoine locatif est un souci constant pour un propriétaire bailleur mais bien en-deçà de sa préoccupation majeure : le règlement régulier des loyers.
Car, même si la sinistralité est faible (environ 2% de loyers impayés avant la crise actuelle), les procédures de recouvrement sont longues et coûteuses. Une procédure prend souvent plus d’une année pendant laquelle le propriétaire ne reçoit plus de loyer et doit engager les frais correspondants d’huissier, d’avocat, de justice, … sans garantie de retrouver son bien en état d’être reloué !
Autant dire qu’un tel évènement est vécu comme une catastrophe par un petit propriétaire parfois pas plus fortuné que son locataire. A tel point qu’il est déjà arrivé que des propriétaires bailleurs paient leur locataire pour qu’il daigne quitter les lieux volontairement (et sans dégradations !) après de nombreux impayés.
Depuis le début de cette crise aucun propriétaire client de Wizi, majoritairement protégés par la «
garantie de règlement du loyer le 5 du mois quoi qu’il arrive », n’a eu à subir d’impayé alors que l’on constate une
large augmentation des incidents de paiement, de nombreux locataires subissant une perte de revenus et de nombreuses voix réclamant le non-paiement des loyers pendant la pandémie.
Mais cette garantie a également permis à Wizi de
développer encore son activité, la période anxiogène actuelle poussant nombre de propriétaires à sanctuariser leur revenu locatif en demandant une reprise de bail avec un mandat de gestion incluant cette protection.
Wizi : un positionnement bien opportun
Précurseur dans la dématérialisation et l’automatisation des opérations liées à une location de longue durée, créatrice de solutions innovantes en services et garanties, la plateforme Wizi était déjà et reste de fait bien préparée pour
accompagner et préserver ses clients propriétaires et locataires pendant cette période chargée d’incertitudes.
Aucune rupture de service pour ses clients propriétaires et locataires, une protection maximale de l’investissement locatif de ses clients propriétaires, tel est le bilan dont peut s’enorgueillir l’équipe Wizi dans ce contexte qui prouve
l’intérêt d’avoir été « en avance ».