Le blog Wizi

Face au mur des travaux de rénovation thermique à réaliser dans l'année, changer les modalités de calcul du DPE apparait comme la solution pour éviter une pénurie encore plus grave de biens à louer.

Face à un contexte économique difficile marqué par une forte inflation et une perte de pouvoir d'achat, les impayés de loyer s'envolent et il n'est pas sûr qu'une GLI suffise pour prendre en compte toutes les situations d'incident de paiement.

A l'approche de la première échéance d'interdiction de location pour les logements classés G dans leur DPE le nombre de ventes de passoires thermiques explose, boosté par des acquéreurs à la recherche de la bonne affaire.

Après de nombreux mois où le secteur immobilier s'enfonçait de plus en plus dans une crise sans précédent, de premiers signes encourageants apparaissent qui laissent à penser qu'un redressement est possible.

Si les IA (Intelligences Artificielles) démultiplient les possibilités de fraude à la location, elles représentent également des outils puissants pour contrecarrer ... leurs propres abus.

Le développement régulier de la location saisonnière et les mesures laborieuses de cantonnement de cette évolution exaspère certains habitants.

L'émergence de nouveaux outils basés sur l'intelligence artificielle multiplie les possibilités de fraudes au détriment aussi bien des propriétaires que des locataires.

Le chantier de rénovation énergétique des logements en France est si mal engagé et bouscule tant le secteur de l'immobilier locatif que des aménagements deviennent indispensables.

Dans un marché locatif marqué par une pénurie inédite, le rapport de force entre bailleurs et locataires bascule au profit des propriétaires.

La propagation actuelle de l'invasion de punaises de lit inquiète par la difficulté de les éradiquer et par le coût d'une telle opération. Mais en cas de location, qui assume ?